Same-Sex Marriage Used for Media Control and Tax Evasion

This is the ugly face of Pierre Bergé, the homosexual owner of a large stake in the French newspaper Le Monde.

How did Bergé get so rich he could afford to buy Le Monde and several other newspapers and magazines? Answer: he was the homosexual lover of the fashion designer Yves St-Laurent.  The pair broke up twenty-five years ago, but just before St-Laurent's death, he and Bergé went through a ceremony of civil partnership, which meant that all St-Laurent's vast fortune, over 100 million euros, could go untaxed to Bergé instead of going to his blood relatives. 

Bergé has used his power in Le Monde to campaign for same-sex marriage and he is now threatening to sell his magazine <<La Vie>> because its editor is taking a stance sympathetic to La Manif Pour Tous. He is supporting the principle to true, real marriage, marriage between a man and a woman.
Did we say threatening? Frankly, what is there to fear about being sold off by Bergé? The less control people like this have in the media, the better for France.

We don't care if you do sell it Mr Bergé! What we find sickening is the way that people like you buy and sell babies.
Among the mottoes of La Manif Pour Tous is "My Womb is Not to Rent".

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/medias/actu/0202869831740-pierre-berge-menace-de-vendre-le-magazine-la-vie-581936.php


Pierre Bergé menace de vendre le magazine «La Vie»
Lors du conseil de surveillance du groupe Le Monde mardi après-midi, Pierre Bergé a poussé un coup de gueule contre les éditoriaux du magazine «La Vie», titre du groupe Le Monde, contre le mariage pour tous.

Et une nouvelle déclaration intempestive de Pierre Bergé ! D’après nos informations, l’actionnaire du quotidien «Le Monde» _ aux côtés de Xavier Niel et Matthieu Pigasse_ s’est emporté mardi après-midi contre le directeur de la rédaction de «La Vie», Jean-Pierre Denis. La raison ? Les éditoriaux de «La Vie» contre le mariage pour tous, qu’il a indiqué désapprouver en tous points, lors du conseil de surveillance du groupe Le Monde. Ce dernier aurait même menacé d’«abandonner» «La Vie» si de telles prises de positions devaient se reproduire, sous-entendant qu’il pourrait, à titre personnel, solliciter la mise en vente du titre, témoignent trois sources concordantes, présentes à la réunion.
Interrogé, Louis Dreyfus, président du directoire du Monde, dément catégoriquement que Pierre Bergé ait dit vouloir «abandonner» «La Vie». «Il n’y a aucun mandat de vente de La Vie», précise-t-il. Une telle décision impliquerait de toute façon l’accord de tous les actionnaires du titre et pas seulement de Pierre Bergé. C’est, en tout cas, un message pas très sympathique envoyé aux salariés de «La Vie» et aux représentants du titre qui venaient, hier, pour la première fois devant le conseil de surveillance du «Monde» pour exposer leurs projets et leurs évolutions récentes. Comme l’ont fait récemment d’autres titres du groupe, tels que «Télérama», par exemple.